Leadbreaker : formation dont les
origines remontent à 2017, à Gävleborg, Suède. Ce pays nous a habitué, depuis
la fin des années 90, à sortir des groupes qui restent farouchement attachés à
un certain type de Heavy Metal. Cette mouvance, piochant dans le Hard Rock de
la fin des seventies et tout ce que le Heavy des eighties compte comme dérivés
(Doom, Speed, Thrash, Power…), est aujourd’hui baptisé New Wave
Of Traditional Heavy Metal. Le quatuor s’inscrit
dans cette lignée, avec tout ce que le style sous-entend comme clichés.
Passons sur la pochette, aussi moche que celle de leur compatriote de
Torch, et concentrons-nous sur le contenu. Assez varié dans leurs exécutions, les
compos déboulent avec savoir-faire, portées par un chant rappelant Geddy Lee
(Rush). La première écoute ne laisse pas un souvenir impérissable et pourtant, je
me suis laissé séduire, succombant au charme désuet d’une première production
juvénilement sympathique.
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