Anvil c’est avant tout l’histoire
de 2 potes de lycée, Steve « Lips » Kudlow et Rob Reiner, qui décident de se
lancer dans la folle aventure du Rock ‘N’ Roll. Le groupe émerge à Toronto en
1979 sous le nom de Lips pour se
rebaptiser Anvil en 1981. Avec
Hard ‘N’ Heavy, le quatuor annonce d’emblée la couleur sur le contenu de cette
première production. De Hard il est question avec
At the apartment qui flirte avec
AC/DC sans pour autant plagier,
tandis que Ooh Baby et
Bondage auraient pu figurer sur un
disque de Ted Nugent. Quant au Heavy il est présent sur le reste de l’album avec notamment un
Bedroom game qui sort du lot, et
une bonne reprise de Paint it black. Souvent cité comme influence par
Metallica, Anthrax ou
Slash, les Canadiens ne verront jamais leur carrière vraiment décoller malgré des débuts prometteurs.
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Be My Slave
Formé en 1980, Bitch est le
premier groupe signé par Brian Slagel (découvreur de talents qui a lancé les
carrières de Metallica, Ratt, Slayer et consort). Emmenée
par Betsy « Bitch » Weiss, la formation enregistre en 1982 le titre
Live for the whip pour la très
prisée compilation Metal Massacre. Suivent le EP Damnation Alley, puis l’album Be My Slave (1983). S’appuyant sur les charmes de sa chanteuse qui joue les Maîtresses
dominatrices, les Angelenos (habitants de Los Angeles) optent pour une image
BDSM, signant des titres sans équivoque :
Be my slave, Leatherbound. Coté musique, c’est du Heavy Metal américain typé eighties, rugueux
dans la production, sonnant parfois punk. Sans être renversant artistiquement,
Be My Slave choquera les puritains
réactionnaires du PMRC de Tipper Gore, qui s’appuieront sur sa pochette et le
contenu des paroles pour dénoncer la dangerosité de la musique sur «
l’innocente jeunesse américaine ».
First Visit
Rogue Male, groupe britannique formé par l'irlandais Jim Lyttle, était censé devenir,
selon le magazine Kerrang, la nouvelle grosse sensation en provenance de la
perfide Albion. Délivrant une musique à la croisée des chemins entre punk
(dont Lyttle a côtoyé la scène) et hard rock/heavy,
First visit, première livraison du groupe, est une vraie bonne petite claque. S’appuyant
sur une imagerie post-apocalyptique influencée par Terminator et Mad Max, le
groupe nous délivre des titres imparables qui parfois nous rappellent, dans
l’exécution, un certain
Mötörhead (Crazy motocycle, Get off my back, Unemployment). Rien à jeter sur cette galette d’un groupe qui a une véritable identité
sonore. Hélas, Rogue Male disparaitra aussi vite qu’il est apparu, après la
sortie de son deuxième album,
Animal man. Ce dernier lui vaudra le droit d’apparaitre à la télévision française, aux
enfants du rock, jouant une reprise endiablée du
Pretty vacant des
Sex Pistols. Culte!!!
Weird Visions
Dans les années 80, ADX était une
figure de proue du Heavy Metal à la française. Malgré des critiques peu
élogieuses dans Enfer Magazine à la sortie d’Exécution, la formation obtient au fil du temps et des albums, un succès national.
Jouissant d’une réputation grandissante en dehors de l’hexagone, les
franciliens attirent l’attention d’un des plus gros labels allemands du
moment, Noise Records. Avec la promesse d’assurer une bonne exposition
médiatique et une meilleure distribution internationale,
Weird Visions sera produit chez
nos voisins teutons. Seule obligation, chanter en Anglais, afin de toucher une plus large audience. Ce choix déconcerte une partie du public français qui boude
un album pourtant bien produit et bien exécuté. Comble de malchance, Noise, au
bord du dépôt de bilan, n’assurera pas la promotion de
Weird Visions, transformant les rêves de conquête du groupe en échec commercial,
et précipitant la mise en veille de ses activités.
World Gone Mad
CJSS acronyme de Chastain
(guitares), Jinkens (chant), Skimmerhorn (basse), Sharp (batterie), est un
des groupes de David Taylor Chastain, stakhanoviste de la six cordes. C’est
à Black Dragon Records, label français, que l’on doit la découverte de ce
disque dans nos contrées. S’inscrivant dans la mouvance du moment,
CJSS s’appuie sur les talents
d’un virtuose de la guitare aux influences néoclassiques. Moins pompeux et
démonstratif dans la forme qu’un
Yngwie Malmsteen (qui fait alors
figure de référence), ou que la plupart des productions de l’écurie de Mike
Varney, les 4 de Cincinnati nous délivre avec
World Gone Mad, un solide album de Heavy Metal. De l’énergique
Hell on earth à
Welcome to damnation et sa
rythmique entêtante, en passant par une reprise réussie de
Communication breakdown (Led Zeppelin), CJSS domine son sujet.
Living in an exhile clôture
admirablement une œuvre ou chaque musicien tient sa place avec maitrise et
brio.
La version disponible ici est amputée de la reprise de Led Zeppelin, Communication breakdown.
Leadbreaker
Leadbreaker : formation dont les
origines remontent à 2017, à Gävleborg, Suède. Ce pays nous a habitué, depuis
la fin des années 90, à sortir des groupes qui restent farouchement attachés à
un certain type de Heavy Metal. Cette mouvance, piochant dans le Hard Rock de
la fin des seventies et tout ce que le Heavy des eighties compte comme dérivés
(Doom, Speed, Thrash, Power…), est aujourd’hui baptisé New Wave
Of Traditional Heavy Metal. Le quatuor s’inscrit
dans cette lignée, avec tout ce que le style sous-entend comme clichés.
Passons sur la pochette, aussi moche que celle de leur compatriote de
Torch, et concentrons-nous sur le contenu. Assez varié dans leurs exécutions, les
compos déboulent avec savoir-faire, portées par un chant rappelant Geddy Lee
(Rush). La première écoute ne laisse pas un souvenir impérissable et pourtant, je
me suis laissé séduire, succombant au charme désuet d’une première production
juvénilement sympathique.
Riot Live

J’ai découvert Riot sur la compilation Monsters Of Rock, où figuraient également Rainbow, Scorpions, Saxon et d’autres. Pourquoi je vous dis cela ? Tout simplement parce-que Riot Live est de la même teneur que le petit uppercut que j’avais pris en pleine poire, en écoutant Road racin’ sur la compil susnommée, sauf qu’ici c’est l’album complet qui vous met K.O. Sorti en 1989, la captation a pourtant eu lieu en 1980, lors d’un concert à l’Hammersmith Odeon. A cette époque, la formation New Yorkaise est à la croisée des chemins entre Hard Rock et Heavy Metal. Guy Speranza assure le chant aux côtés d’un Mark Reale inspiré, délivrant une prestation bourrée de feeling et d’énergie. Passé aux oubliettes, ce disque mérite vraiment le détour, rivalisant haut la main avec The Eagle Has Landed, Highway Song Live ou Baron Al Rojo Vivo, autres enregistrements en public incontournables du début des eighties.
Blitzspeer Live
Blitzspeer nous arrive de New-York. En décidant de sortir un live en guise de première livraison discographique, le groupe opte pour une démarche quelque peu singulière. Phil Caivano (guitares et chant) explique ce choix par sa volonté de mettre en avant l’énergie déployée par le groupe lors de ses prestations scéniques. Il ne se voit pas défendre un album studio qui risque de se noyer dans les méandres de la communication marketing d’une grosse maison de disque comme Sony/Epic. Ce Blitzspeer Live, à la croisée des chemins d’un Hard Rock à la Motörhead et d’un Heavy Metal pêchu, laisse une impression mitigée. Je ne retiendrai que trois compositions du groupe : City boy, qui ouvre le bal de façon énergique, l’oppressant Road machine, et un Sky high again accrocheur (mon préféré). Une reprise de Kick out the jams (MC5) clôture agréablement cet EP de sept titres, ni mauvais, ni transcendant.
One And Only
Bon an mal an, Anvil poursuit son petit bonhomme de chemin entamé 46 ans plus tôt. Fidèle à lui-même, le trio nous délivre 12 titres de ce qu’il sait faire de mieux : un mélange de ‘’Hard et Heavy’’ comme aux plus beaux jours de sa carrière. Ne cherchez pas l’innovation ou la surprise sur leur vingtième album, il n’y en a pas. Au menu de ce One And Only : le titre éponyme avec ses effluves d’un AC/DC métallisé, Fight for your rights et ses relents de Stone Cold Crazy (Queen), Dead man shoes aux émanations de Motörhead, Gold diamonds et Condemned liberty et leurs exhalaisons de Judas Priest. En arrière cuisine, la batterie et la basse montent la sauce pendant que le chef nous distille quelques riffs et soli bien sentis, assaisonnés de refrains efficaces. ‘’Anvil reste Anvil’’ et c’est pour ça qu’on l’aime ou qu’on le déteste.
Rosa Negra
Formé en 1983 autour des frères Leon, Rosa Negra est un groupe Espagnol qui sort son premier opus éponyme en novembre 1984. Moins connu que Baron Rojo, Obús ou Angeles Del Infierno, la formation madrilène évolue dans un registre N.W.O.B.H.M.. Si la langue de Cervantes ne vous rebute pas, penchez vous sur Paranoicos, Volcán, Kamikazes ou l’entêtant No sois el sexo débil. Malgré une production vieillissante, l’album reste agréable à écouter dans son ensemble. Après trois années d’activité en ayant assuré les premières parties de Joan Jett, Def Leppard, ou Scorpions, le groupe enregistrera un second disque, El Beso De Judas, et disparaitra des écrans radar pour refaire surface en 2012. Mises à part la barrière de la langue, et une distribution erratique ne leur permettant pas de se faire connaitre au-delà de la péninsule Ibérique, Rosa Negra était la bonne surprise qui n’avait rien à envier à ses contemporains britanniques.
The Eagle Has Landed
Si Saxon, aujourd’hui, semble être pour certain un groupe de second ordre, il n’en
n’a pas toujours été ainsi. Dans la première moitié des années 80, la
popularité des natifs de Barnsley, tutoyait celle d’un
Judas Priest et faisait jeu égal
voire dépassait celle d’Iron Maiden. The Eagle Has Landed, leur premier album live, en est l’illustre témoignage, surpassant de la
tête et des épaules
Unleashed In The East (Judas Priest). Enregistré durant la tournée européenne pour promouvoir
Denim And Leather, le groupe pioche également dans
Strong Arm Of The Law et
Wheels Of Steel, ses deux prédécesseurs. Le choix et l’interprétation des titres est
redoutable d’efficacité, même si l’on aurait aimé y voir figurer d'autres
classiques. La réédition de 2018 corrigera cela en ajoutant quelques bonus.
The Eagle Has Landed reste un des
meilleurs live de la décennie. Ecoutez l'enchainement
Fire in the sky/Machine gun et vous serez
convaincu.
Volume VI Warts n' All
Août 2020, en pleine pandémie, les Australiens publient ce message :
« F@#k you Corona virus! Alors que le monde est effrayé par le sang, la
sueur et la bière, Mammoth Mammoth ne peut tout simplement plus exister. On dégage d’ici ! ». Je ne donnais pas cher de la suite de la carrière du groupe. Un an plus
tard, la formation melbournienne ressuscite, un nouveau contrat discographique
en poche, et un album en prévision. Repoussé, COVID oblige, c’est en novembre
2023 que sort Volume VI Warts n’ All. D’entrée Hell’s likely donne le
ton, sonnant comme G.B.H., tandis que le reste du répertoire est plus typé Hard Rock/Metal, croisement
entre Motörhead et
Black Sabbath (Epitome
et son clin d’œil à Paranoid). Le son est brut, sans fioritures, un live authentique
avec tous ses défauts (*).
Mammoth Mammoth ne réinvente rien,
on aime ou on n’aime pas. Moi je valide.
(*) Traduction en français de warts and all.
The Murderess Metal Road Show
Lizzy Borden tient son nom d’une
héroïne d’un célèbre fait divers américain de la fin du 19e siècle. Accusée
d’avoir tué son père et sa belle-mère à coups de hache, Lizzie fut acquittée
faute de preuves et de mobile (malgré des suspicions d’inceste). Devenue une
icône féministe et folklorique, elle fit l’objet d’une comptine pour enfant :
Lizzie Borden took an ax. La parenthèse culturelle refermée, intéressons nous au contenu de ce
Metal Murderess Road Show. Emmenés par leur chanteur Lizzy Borden (Gregory Charles Harges), les
angelins nous livrent une version live de leurs deux premiers micro-sillons,
Giv ‘Em The Axe et
Love You To Pieces, agrémentés du
Live and let die des
Wings. Musicalement proche d’Iron Maiden
sans en avoir le génie, le groupe connaitra un certain succès sur sa terre
natale sans jamais vraiment s’imposer en Europe. Sympathique tout au plus, à
ranger aux côtés de Savage Grace.
Defenders Of The Faith
Dans la série album quadragénaire, en voilà un autre qui a marqué son époque :
Defenders Of The Faith. Cette neuvième parution de
Judas Priest est dans la juste
continuité de son prédécesseur,
Screaming For vengeance, qui lui a ouvert les portes du succès outre atlantique, lui permettant de
jouer à l’affiche de l’US Festival (San Bernardino 1983). L’incontournable
Freewheel burning, toujours joué en concert, ouvre le bal de fort belle manière, suivi du non
moins efficace Jawbreaker. Rock hard ride free vient
casser le rythme, avec son tempo plus lent et une mélodie empreinte de
claviers formatée pour faire plaisir aux toutes puissantes radios américaines.
La face A se termine par un autre classique,
The sentinel. Malheureusement la face B est un cran en dessous, faisant pour moi de
Defenders Of The Faith un album
prévisible, sans pour autant égaler Screaming For vengeance. Certains puristes vous diront le contraire.
Heavy Metal Drill
Au pays du soleil levant, on peut baigner dans une société ultra moderne et rester très attaché aux traditions. Metalucifer s’inscrit dans cette lignée de musiens qui, bon an mal an, portent le flambeau d’un Heavy Metal conservateur fortement ancré dans les eighties. En 1995, le grunge a quelque peu marginalisé voire ringardisé ce style de musique. Ça n’a pas pour autant découragé Gezolucifer (membre du Sabbat japonais) qui formera Metalucifer pour rendre hommage à cette génération NWOBHM. Certes, le nom du groupe frise le cliché absolu, sa musique aussi, mais qu’importe. Au fil des morceaux on se prend à secouer la tête sur des mélodies fortement influencées par Iron Maiden, Judas Priest, et, dans une moindre mesure, Saxon. Heavy Metal Drill est la première cartouche anachronique d’une formation, qui comme la DeLorean avec Marty Mc Fly, nous propulse naïvement pour un retour vers le futur. Bon enfant et salvateur.
Harder And Heavier
Ceux qui s'intéressent à l'histoire du Hard Rock et du Heavy Metal devraient
savoir que l'origine du style remonte au Gospel. Ok, là je passe pour un fou
mais... Le gospel est à l'origine du Blues, composante essentielle avec le Rock de ce qui deviendra le Metal. Cette compilation est là pour rendre
hommage au Rock British des années soixante qui engendrera l'enfant terrible
qu'est le Punk, et son pendant tout aussi barré mais musicalement plus
structuré, le Hard Rock. Ces influences se feront ressentir chez un grand
nombre de groupes US des années 80 issus de la vague Glam/Hair Metal. Comme
toujours pour ce genre d'exercice, il y a du bon et du moins bon, mais
l'intérêt réside dans la palette hétéroclite des musiciens qui se livrent à l’expérience. Tous viennent d'univers différents, parfois antagonistes, pour
nous livrer une relecture personnelle et Heavy de standards oubliés.
Sympathique et divertissant !
Metal Church
Non, Wayne ne fait pas référence
au super-héros masqué qui fait régner l’ordre sur Gotham City. C’est le
patronyme du premier vocaliste de
Metal Church, David Wayne, qui nous délivre son unique album sobrement intitulé...
Metal Church. Histoire d'ajouter un peu de confusion, Craig Wells, ex guitariste de
l'église de métal, participe également à l’enregistrement. Musicalement on
navigue en terrain connu. Les clins d’œil à la formation d’Aberdeen ne
manquent pas : la pochette du disque, le jeu de batterie sur
The choice (rappelant celui de
Metal Church), et Nightmare II, suite logique de
(My favorite) Nightmare. Le mimétisme est poussé jusqu’à proposer une reprise,
Mississipi queen, qui, sans égaler Highway star, est plutôt bien balancée avec son solo au bottleneck. Solide et efficace ce
disque n’aura jamais de successeur, David Wayne nous ayant quitté le 10
mai 2005. A classer entre le
Metal Church de 1984 et
The Dark.
Resurrection
Intituler son premier album
Resurrection quand on a
Metal God comme pseudonyme,
avouez qu’il y a de quoi sourire. Et pourtant, en quittant
Judas Priest le 4 juillet 1991,
alors que la formation anglaise est au sommet de sa popularité, Rob Halford
ne se facilitera pas la tâche. Auteur de deux albums de Metal
contemporain avec Fight, groupe qu’il fonde juste après son départ, et d’une digression
industrielle avec Two, sa carrière solo a du mal à décoller. En 2000, c’est donc sous son propre
patronyme que sort le bien nommé
Resurrection. Cette prèche marque un retour aux sources du Heavy Metal tel que Rob le
pratiquait avec Judas Priest. L’ensemble des compositions est de bonne facture, malgré une petite
baisse de régime sur la fin avec les très dispensables
Temptation et
Drive. A noter que Bruce Dickinson vient jouer les enfants de cœur sur
The one you love to hate.
Torch
Comment un directeur artistique peut-il imposer le choix d’une illustration
aussi moche? Même un fantasme inassouvi sur le bronzage de la Schtroumpfette
durant sa puberté, ne peut justifier une telle faute de gout pour ce qui peut
être classé parmi les meilleures sorties européennes de 1983. Pourtant c’est
l’année de Pyromania, Holy Diver, Shout At The Devil, Kill’ Em All, Show No Mercy… Au milieu de tout cela,
Torch sort un premier album de
qualité, unanimement salué par la critique. Si
Warlock n’est pas le morceau le
plus approprié pour ouvrir les hostilités,
Beauty and the beast, Watcher of the night ou
Hatchet man apportent un peu de
mordant, plaçant les dix compositions des Suédois largement au-dessus du lot
de pas mal de productions britanniques ou américaines. Passé le choc psychologique de la pochette, le contenu vaut plus que le détour. Parfois
oublié des spécialistes, un incontournable de ma métalthèque.
La version ci-dessous est agrémentée de 8 titres bonus issus des 2 EP (Fire Raiser!!
et 3 Track 12 Inch)
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