Girlschool est sans doute le
premier groupe entièrement féminin à s’être imposé de façon crédible et
durable sur la scène Hard Rock, bénéficiant régulièrement des coups de pouce
de Lemmy. Après trois albums n’ayant rien à envier à leurs homologues
masculins, la formation s’oriente vers une musique plus commerciale qui fera
chuter sa cote de popularité. Les problèmes du label Bronze Records
(dont Motörhead fera aussi les
frais), n’arrangent rien. C’est dans un contexte peu favorable et un passage à
vide de trois années que
Nightmare At Mapple Cross voit le
jour. Renouant avec Vic Maile, producteur originel ayant contribué au succès
des 2 premières parutions du groupe, le gang revient à ses racines musicales.
Sans atteindre l’intensité de
Demolition ou de
Hit And Run, ce sixième opus, plus qu’honorable, ne trouvera pas son public. En 1991 GWR
le rééditera sur le même support que
Take A Bite, son successeur.
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