Paradoxalement, j’ai découvert
Judas Priest en 1982 avec
Sad Wings Of Destiny, alors que cette même année sortait l’incontournable
Screaming For Vengeance. A la première écoute je n’ai pas accroché de suite, quelque peu rebuté par
les vocalises de Rob Halford. Prenant le temps de m’approprier l’œuvre, la
conclusion semble ensuite évidente : ce disque est une pièce maitresse de la
discographie du groupe aux côtés de
Screaming For Vengeance, Defender Of The Faith, Turbo, et Painkiller. Avec ce deuxième opus, le
Priest défini presque tout ce que
le Heavy Metal proposera par la suite en termes d’influences et de variations
musicales. Si je devais convaincre les plus réticents d’entre vous,
Victim of changes, qui ouvre l’album, fait toujours partie de la liste des morceaux joués en
concert en 2022. Donc, même si le son peut paraitre un peu daté aujourd’hui, écoutez les enchainements
Dreamer deceiver/Deceiver
et
Epitath/Island of domination.
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