Blitzspeer nous arrive de New-York. En décidant de sortir un live en guise de première livraison discographique, le groupe opte pour une démarche quelque peu singulière. Phil Caivano (guitares et chant) explique ce choix par sa volonté de mettre en avant l’énergie déployée par le groupe lors de ses prestations scéniques. Il ne se voit pas défendre un album studio qui risque de se noyer dans les méandres de la communication marketing d’une grosse maison de disque comme Sony/Epic. Ce Blitzspeer Live, à la croisée des chemins d’un Hard Rock à la Motörhead et d’un Heavy Metal pêchu, laisse une impression mitigée. Je ne retiendrai que trois compositions du groupe : City boy, qui ouvre le bal de façon énergique, l’oppressant Road machine, et un Sky high again accrocheur (mon préféré). Une reprise de Kick out the jams (MC5) clôture agréablement cet EP de sept titres, ni mauvais, ni transcendant.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
-
Oublier Squealer dans une discothèque consacrée au Hard-Rock est, à mon humble avis, une faute de gout impa...
-
Le Hellfest, malgré les reproches que l’on peut lui faire (à tort ou à raison), a ceci de vertueux, c’est qu’il accorde chaque ann...
-
Mountain voit le jour en 1969 à Long Island. Emmené par Leslie West, son emblématique guitariste, et Felix Pappalardi, bassiste/chan...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Commentaires et mauvaise foi: c'est ici!