Burning The Witches

En 1984, nombreux sont ceux qui pensent que le Hard Rock ou le Heavy Metal est obligatoirement une affaire de testostérone. Même si dans la seconde moitié des seventies The Runaways commencent à inverser la tendance, la gent féminine est peu représentée dans un univers aux mentalités et clichés machistes. Quelques groupes arrivent heureusement à tirer leur épingle du jeu. En angleterre Girlschool assure sa crédibilité en assumant les premières parties de Motörhead, et Rock Goddess pointe le bout de son nez. A Düsseldorf, Warlock nous impose sa chanteuse Dorothée Pesch, qui deviendra au fil du temps, une icône incontestée et incontestable du Heavy teuton. A la croisée des chemins entre Accept et la NWOBHM, Burning The Witches souffre certes aujourd’hui d’une production faiblarde et de la naïveté inhérente à un premier album, mais je prends toujours autant de plaisir à l’écouter. Efficace et sans fioriture : Deutsche qualität !!! 
 

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